Mais qu’attend-on pour se débarrasser de ce criminel génocidaire, MONK(C)TON!
Ce n’est pourtant pas dans les gènes du peuple acadien de se laisser piétiner !
Pourtant, les autorités de l’Université de MONKTON renouvellent son appui pour conserver et ainsi réitérer son hommage à un criminel de guerre, en refusant de changer son nom de MONKTON par le nom Université de l’Acadie ou d’Acadie.
Comment peut-on oser conserver pour l’université acadienne le nom de Monc(k)ton, celui qui pourtant a supervisé le spoliation et l’extermination ethnique et la déportation de son peuple, les Acadiens.
« Président du mouvement Impératif français entre 1984 et 2024, Jean-Paul Perreault, spécialiste en aménagement linguistique, se dit bouleverser par le maintien et le renouvellement de l’hommage à ce génocidaire !
On est loin de l’époque où les étudiants acadiens manifestaient, à la face du monde, leur rage contre le maire de Moncton, francophobe et suprémaciste anglophone, Leonard Jones, qui refusait de reconnaître la langue française et conséquemment, le peuple acadien ! Vous vous rappelez de la tête de cochon!
Selon M. Perreault, « un peuple qui se respecte ne nommerait jamais un de ses lieux publics au nom d’un prédateur meurtrier », avant d’ajouter « sauf qu’ici, le gouvernement du Nouveau-Brunswick, le conseil d’administration, le recteur et les gestionnaires (Oui ! Oui ! C’est malheureusement vrai !) de l’Université (de langue française et de la Francophonie !) de Moncton ! qui combattent activement pour maintenir cet hommage des plus humiliants pour tous et toutes, peu importe le lieu !»
Ceci soulève, entre autres, des questions sérieuses sur le choix des administrateurs et gestionnaires de cette université. » C’est le temps d’y réfléchir!
Merci aussi de le faire ! Cette pétition a besoin de votre appui à https://coda.io/@operation-nouveau-nom/operation-nouveau-nom. Ensemble on va plus loin !
« Le débat sur le nom de l’Université de Moncton divise les Acadiens du Nouveau-Brunswick. Une pétition de plus de 1400 noms demande un changement de nom pour cet établissement, mais d’autres pensent qu’il s’agirait d’une erreur. Mais qui était donc le colonel britannique Robert Monckton et pourquoi devrait-on revoir son héritage? Plusieurs Acadiens qui appuient un tel changement soulignent que ce haut gradé britannique né en 1726 dans le Yorkshire a joué un rôle important dans la déportation des Acadiens, une raison à leurs yeux suffisante pour exiger un changement de nom de cet établissement d’enseignement postsecondaire. » (Radio-Canada)
Voici ce que l’histoire nous rapporte :
« Crimes contre les Acadiens – Il reste que c’est Robert Monckton qui supervise l’expulsion des Acadiens, qui débute le 28 juillet 1755, d’abord dans la région de l’isthme de Chignectou, ensuite dans celles de Memramcook et de Chipoudie, puis dans la région de Petcoudiac, qui comprend le territoire où se trouvent aujourd’hui les municipalités de Moncton et de Dieppe.
Les troupes de Robert Monckton brûlent des bâtiments des Acadiens pour les faire fuir. » (Radio-Canada)
Sur le même sujet :
Leonard Jones, l’ennemi providentiel des Acadiens de Moncton
N.-B.: pétition en cours pour faire changer le nom de l’Université de Moncton
De Monckton à Moncton : les origines d’un nom qui dérange au Nouveau-Brunswick
Source et pour entrevue :
Jean-Paul Perreault, spécialiste en aménagement linguistique
Président du mouvement Impératif français (1984-2024)
Tél. : 613-282-7119
Courriel : ensemble@jeanpaulperreault.org
Site Web « Ensemble on va plus loin » à www.jeanpaulperreault.org